HtmlToText
entre sensualité et volupté, les pages d’un carnet intime 25 février, 2009 rêverie classé dans : non classé — secretsdefemme @ 22:07 mes envies de douceur m’ont fait faire un très joli rêve ces jours derniers, je vous le livre : la première éveillée, dehors le bleu de l’aube ourlé de gris, la gelée de la nuit se dissipe lentement sur les toits. l’hotel dort encore, juste quelques légers bruits venant de la cuisine, la serveuse qui s’afffaire à préparer les tables du petit déjeuner. la chambre est calme, presque abstraite, c’est à peine si je perçois ton souffle lent et serein près de moi. histoire de reprendre contact avec la réalité, je tends la main vers ton torse pour le caresser tendrement. ta peau est douce et fraîche, je fais glisser la couette blanche sur toi. doucement, minute après minute, la rumeur de dehors s’amplifie et pourtant, on entend à peine les pas des premiers courageux de la journée sur les pavés. que de calme dans cette belle ville ! un plaisir de s’y éveiller, on dirait que le jour n’est pas pressé de commencer. devant cette tasse de café chaud, ces arômes du petit déjeuner nous bercent encore, comme si on avait prolongé ces douces sensations de la couette encore chaude. je respire avec bonheur l’amertume de ce breuvage, je me délecte de lui, le laisse descendre gorgée par gorgée pour en apprécier tout le goût. ta main qui glisse sur cette nappe blanche pour rejoindre la mienne, ton regard me couvre de tendresse, de temps en temps on relève la tête pour regarder le ciel dehors et les gens qui passent en soufflant dans leurs mains pour les réchauffer. un sentiment de plénitude m’envahit, est ce que ce serait pas ca le bonheur ? quelque chose de léger qui flotte, l’amour à l’état pur. mary pas de commentaire -- 14 février, 2009 offrandes classé dans : non classé — secretsdefemme @ 11:09 ouvre les yeux, réveille toi, ouvre tes bras pour m’enlacer, laisse moi te caresser comme si tu étais soie, offre tes lèvres à la fureur de mes baisers. laisse mes yeux être un océan de bonheur, ecoute mes lèvres te murmurer un air de tendresse, goûte ma peau sucrée, mon ventre puis le miel de fleur… regarde mon corps danser d’une élégance céleste. laisse le désir illuminer tes yeux, guide ma main pour te donner des frissons, profite de ma bouche qui devient puit de feu sens comme nos deux corps vibrent à l’unisson. la nuit s’achève, le temps même ici, gagne toujours l’aurore pointe, le matin sera bientôt là, le temps rapace, le temps vautour… ferme les yeux, colle toi encore à moi, je te laisserai découvrir les doux trésors de mon cœur. ne pars pas, le pays des fées, le pays d’avalon, c’est désormais chez toi… mary pas de commentaire -- 6 novembre, 2008 désirs classé dans : non classé — secretsdefemme @ 22:36 il ne savait pas comment lui dire les mots qu’il avait si souvent raconté. le sang monta en lui, partout, de la pointe de ses pieds à ses joues. il vint près d’elle, qui s’était calée contre ce mur. le plus naturellement du mon de, sa main glissa doucement sur la robe soyeuse, cherchant l’ourlet sublime, la couture frontière, cette ligne de tissu lui ouvrant le passage vers l’envers du décor. puis la main rencontra la jambe gainée de soie jusqu’à la peau nue au dessus de ce bas, et commença à remonter, tendrement, le long de cette nouvelle douceur … chaque centimètre était le lieu d’un embrasement qui à peine entamé était laissé à lui-même alors que la main continuait son ascension. elle s’arrêtait parfois pourtant comme pour se reposer et caresser la jambe au même niveau. etait-ce une pause rafraîchissante ou une torture supplémentaire ? pouvait-elle permettre que cette main baladeuse parle à son corps si loin et si profond ? son cœur s’affolait, ses tempes battaient très fort. l’espace d’un instant elle réalisa qu’ils s’étaient pas à pas, millimètre par millimètre éloignés de la rue bruyante pour se retrancher dans l’embrasure de cette porte cochère…puis elle ferma de nouveau les yeux et laissa emporter par ce doux tourbillon de sensations. elle sentait ses fesses frémir, ses hanches attendre le contact sans hésitation. elle sentait son ventre onduler en voyant la vague venir, son buste bouillir d’impatience. elle sentait ses seins saisis de sensations délicieuses, tendus sous le tissu de sa robe. (à suivre) mary pas de commentaire -- 19 mars, 2008 sabandonner classé dans : non classé — secretsdefemme @ 13:51 son cœur aurait pu cent fois lui dire comme il a peur parfois de le perdre comme elle aime se donner, s’abandonner, gémir sous ses doigts caressants. profiter avec lui de ces premiers rayons de soleil sentir ses mains de feu brûler sa peau puis laisser s on corps se faire si doux et dur à la fois sous ses gestes tendres … mary un commentaire -- 16 mars, 2008 gouttes de pluie classé dans : non classé — secretsdefemme @ 18:11 poèsie d’hier (j’avais … 17 ou 18 ans) elle écoute la pluie il écoute les gouttes tomber une à une et ce bruit calme son cœur elle écoute le vent qui la berce dans sa plénitude elle écoute le temps qui passe et qui emporte son bonheur. il n’est plus là, lui son amour et jusqu’au jour de son retour, elle écoute la pluie et le vent qui fuit. mary un commentaire -- 14 mars, 2008 l’essentiel classé dans : non classé — secretsdefemme @ 21:45 j’ai la fièvre, je brûle, douce caresse des mots qui m’envahit cette caresse qui me donne le goût de tout cette douceur qui me fait chaud à ma peau folle de me laisser aller a l’abandon de moi-même je veux être caressée par toute cette douceur je veux ces facettes de milles choses, ccs gestes qui me parcourent mon corps en fusion, ma tête qui raisonne mes seins qui se dressent, ma peau qui frissonne mon ventre qui danse… je voudrais tout ça, l’essence de la vie l’essentiel. mary 2 commentaires -- 12 mars, 2008 s’étourdir classé dans : non classé — secretsdefemme @ 13:42 elle aimerait dans ses yeux se noyer dans ses bras s’assoupir être la flamme intense qui fait brûler son coeur voir ses yeux qui dansent la marque du bonheur. elle voudrait écouter la douceur de sa voix lire dans la profondeur de son regard entendre ce rire qui n’appartient qu’à lui tout l’infini de l’hor izon a été mis dans ses pupilles comme pour la seule raison de combler toutes ses envies. son nom qui tombe en cascade qui roule dans son esprit puis se glisse entre ses lèvres les nuits, où de rêve – plaisir elle s’étourdit… mary un commentaire -- 5 mars, 2008 réveil gourmand classé dans : non classé — secretsdefemme @ 14:53 elle a cet air si coquin qu’il commence à connaître et qui le fait fondre à chaque fois. elle se laisse lentement glisser et vient se poser sur le côté, près de lui. elle regarde avec envie ce sexe déjà tendu à l’extrême. il est si beau et si dur. elle y dépose de légers petits baisers puis pour l’enivrer encore davantage, commence de doux vas et viens. elle aime tant l’entendre soupirer de bonheur. ses gestes sont tendres, précis et délicats. elle sent son sexe s’ouvrir comme une fleur mais résiste à cette envie de venir sur lui pour qu’il la prenne, résiste au besoin de le sentir au fond de son ventre. elle se contrôle. il commence à balancer son bassin de gauche à droite pour donner plus d’amplitude à ses gestes. doucement sous les caresses de son amante, son corps se tend de plus en plus. il soupire, gémit plus fort, mordant ses lèvres violemment à chaque coups de langue. elle adore l’entendre ainsi aimer l’amour qu’elle lui offre, cela l’excite terriblement, son ventre papillonne. elle continue ses mouvements en donnant de temps en temps un baiser sur son sexe déjà rouge de désir. pendant de longues minutes, elle le déguste, puis la seconde qui suit le dévore, passe et repasse sa langue amoureuse sur toutes les facettes de ce membre tendu. d’un mouvement vif qui le surprend, elle le prend entièrement dans sa bouche. il laisse échapper un râle profond qui annonce son plaisir imminent. elle profite entièrement de lui, il est à elle, elle l’aime en douceur, puis avec passion. il caresse ses